Le vin peut être vu comme un marché « cool » : dégustation, convivialité par les jeunes qui terminent leurs études. Pourtant ce n’est pas forcément toujours le cas ! Distributeurs et importateurs reçoivent chaque jour des propositions qui terminent à la poubelle faute d’arguments sur les rotations et le positionnement.

Que peut-on faire pour développer les ventes avec quelques centaines d’€ de marge générée par les ventes annuelles sur un marché ?

J’interviens dans plusieurs écoles pour présenter les sources les plus fréquentes et les études qui les complètent, ainsi que les marchés France et export.

J’espère que les étudiants intègrent que la consommation à domicile exclue la restauration, second circuit en France.